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Optimisez votre vente immobilière : gagnez plus en vendant moins cher !

Cette déclaration peut sembler surprenante, mais la réalité est que de nombreuses agences immobilières utilisent des grilles tarifaires qui manquent souvent de cohérence. Si le prix de vente de votre appartement se situe à proximité d’un palier de commission, c’est le moment d’être attentif. Laissez-nous vous expliquer.

Les grilles de commissions des agences immobilières sont généralement structurées par palier, comme suit :
De 0 à 100 000 €, l’agence prélève une commission de 10%.
De 100 000 € à 300 000 €, la commission passe à 9%.
Entre 300 000 € et 450 000 €, elle est réduite à 8%. Etc.
Au-delà de 1 million d’euros, la commission est fixée à 5%.

Prenons l’exemple du palier à 300 000 € dans notre illustration, et examinons les différences entre les prix nets pour le vendeur et les prix incluant les frais d’agence dans deux scénarios distincts :
1er cas : Lorsque l’appartement est estimé à 299 000 € : Le prix net pour le vendeur s’élève à 299 000 €, mais avec la commission de l’agence, il sera vendu à 325 910 €.
2ème cas : Lorsque l’appartement est estimé à 301 000 € : Le prix net pour le vendeur atteint 301 000 €, mais avec la commission de l’agence, il sera vendu à 325 080 €.

Dans le deuxième cas, le vendeur bénéficie de 2 000 € supplémentaires, et son bien est affiché à un prix de vente plus abordable. Certes, dans ce cas précis, la différence de prix de vente n’est pas considérable, mais lorsque la valeur du bien est beaucoup plus élevée, ces montants peuvent rapidement s’accumuler. Quelques milliers d’euros de plus peuvent vous permettre de rénover votre cuisine ou d’acquérir un nouveau canapé pour votre futur chez-vous !

Il est donc essentiel de comparer toujours les commissions des agences immobilières et d’ajuster le prix de vente en fonction de l’estimation de votre bien. Gardez également cela à l’esprit lorsque vous recevez des offres pour éviter les désagréments.

Si vous préférez une alternative plus avantageuse, envisagez de faire appel à une agence comme Béa, qui propose un taux de commission fixe de 3% pour tous types de biens. Ainsi, vous ne serez jamais confronté à ces paliers de commission contraignants. Ne laissez pas l’occasion de maximiser vos gains vous échapper !

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Vendre son bien immobilier dans l’Ouest Lyonnais : une opportunité à saisir avec Bea.immo

L’Ouest Lyonnais attire de plus en plus d’acheteurs en quête de maisons familiales, d’appartements avec terrasse ou de biens de caractère. Pour les vendeurs, le moment est idéal pour valoriser leur patrimoine immobilier. Mais comment optimiser sa vente, éviter les frais superflus et toucher les bons acquéreurs ? C’est précisément là que Bea.immo change la donne.

L’Ouest Lyonnais : un secteur prisé par les acheteurs

Avec ses communes verdoyantes comme Tassin-la-Demi-Lune, Écully, Charbonnières-les-Bains ou encore Craponne, l’Ouest Lyonnais combine la proximité de Lyon et une qualité de vie recherchée : écoles réputées, accès rapides aux transports, environnement préservé.
Les prix au m² varient selon les communes et la typologie des biens :

  • Appartements : entre 4 000 et 6 000 €/m²
  • Maisons : entre 5 000 et 7 500 €/m² pour les biens avec jardin

👉 Ces valeurs restent compétitives par rapport aux arrondissements centraux de Lyon, ce qui attire un flux constant d’acheteurs en recherche d’espace.


Les défis pour les vendeurs

Mettre en vente un bien dans l’Ouest Lyonnais implique plusieurs étapes :

  • Estimation précise pour ne pas sous-évaluer son patrimoine
  • Gestion des visites et négociations souvent chronophages
  • Frais de notaire et d’agence qui réduisent la rentabilité finale
  • Concurrence accrue sur un marché où les biens familiaux se disputent

C’est pourquoi de nombreux propriétaires cherchent des solutions plus simples et plus économiques que la vente classique.


Bea.immo : la solution innovante pour vendre autrement

Bea.immo propose une alternative unique : l’échange immobilier définitif entre particuliers.
Au lieu de vendre pour acheter ensuite, vous pouvez échanger directement votre bien avec un autre propriétaire intéressé, tout en sécurisant la transaction chez le notaire.

Les avantages concrets :

  • Économie sur les frais de notaire : seule la différence de valeur (soulte) est soumise aux droits de mutation.
  • Gain de temps : plus besoin de synchroniser une vente et un achat.
  • Fluidité du parcours immobilier : trouver le logement idéal en échangeant le vôtre.
  • Sécurité juridique : transactions encadrées par la législation française (acte notarié).

Exemple concret dans l’Ouest Lyonnais

Imaginons que vous possédiez une maison à Écully et que vous souhaitiez vous rapprocher du centre de Lyon. Sur Bea.immo, vous pouvez entrer en contact avec un couple lyonnais désirant quitter leur appartement de la Croix-Rousse pour une maison avec jardin.
👉 Résultat : un échange gagnant-gagnant, rapide, sécurisé et moins coûteux qu’une vente suivie d’un achat classique.


Pourquoi vendre avec Bea.immo dans l’Ouest Lyonnais ?

  • Vous valorisez votre bien dans une zone recherchée.
  • Vous évitez les intermédiaires et réduisez les frais.
  • Vous accédez à une communauté de propriétaires motivés à Lyon et partout en France.
  • Vous restez maître de votre projet, avec un accompagnement digital simple et transparent.

Conclusion

L’Ouest Lyonnais reste une valeur sûre du marché immobilier en 2025, autant pour vendre que pour échanger. Grâce à Bea.immo, vous pouvez transformer une vente classique en véritable opportunité, en réduisant vos coûts et en gagnant en efficacité.
Si vous envisagez de vendre ou d’échanger votre bien, il est temps d’explorer cette solution innovante.

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Échange d’appartement à Paris : frais de notaire, fiscalité et droits de mutation en 2025

Moins connu que la vente classique, l’échange immobilier définitif entre propriétaires est pourtant un mécanisme parfaitement légal… et fiscalisé. À Paris, où les biens ont une forte valeur, cette opération peut avoir des conséquences notables en matière de frais notariaux et de taxation. Voici ce que vous devez savoir avant d’échanger votre appartement.


L’échange immobilier, un acte à part entière

L’échange immobilier, lorsqu’il est définitif, est juridiquement considéré comme un contrat synallagmatique à titre onéreux. Cela signifie qu’il entraîne le transfert de propriété et déclenche les mêmes obligations fiscales qu’une vente classique. Ce n’est ni une donation, ni un prêt, ni un troc “gratuit”.

La transaction est actée par un notaire, qui rédige un acte unique validant l’échange des deux biens, avec ou sans soulte.


Les frais de notaire en cas d’échange à Paris

Contrairement à ce que l’on croit, un échange n’échappe pas aux frais notariaux. Ceux-ci se composent de trois éléments principaux :

  • Les droits de mutation à titre onéreux (DMTO)
  • Les émoluments du notaire
  • Les débours administratifs (enregistrement, cadastre, etc.)

👉 Les droits de mutation sont calculés sur la valeur la plus élevée entre les deux biens échangés. Ils s’élèvent à environ 5,8 % à Paris.

👉 Les émoluments du notaire, eux, dépendent du barème progressif sur la valeur du bien, identique à celui d’une vente.

Exemple concret :

Bien A (Paris 14e)Bien B (Nogent-sur-Marne)SoulteFrais de notaire
620 000 €580 000 €40 000 €Environ 36 000 € (calculé sur 620 000 €)

La soulte : un point fiscal clé

Si les deux biens n’ont pas la même valeur, une soulte est versée pour compenser la différence. Cette soulte est soumise à taxation comme tout montant impliqué dans une transaction :

  • Elle augmente la base des droits de mutation pour le bénéficiaire du bien le plus cher
  • Elle peut faire l’objet d’un prêt immobilier spécifique
  • Elle doit être mentionnée dans l’acte notarié

La fiscalité sur la plus-value

Un échange est aussi une cession immobilière. Il peut donc générer une plus-value imposable, notamment si vous échangez un bien secondaire ou un bien locatif.

  • Taux d’imposition : 19 % + 17,2 % de prélèvements sociaux
  • Exonération totale après 22 ans de détention (IR) et 30 ans (CSG-CRDS)
  • Abattements progressifs selon l’ancienneté

💡 Si le bien échangé est votre résidence principale, la plus-value est exonérée, même en cas de soulte.


Exonérations possibles en cas d’échange

  • Résidence principale : pas de taxation de la plus-value
  • Bien détenu depuis plus de 22 ans : exonération d’IR
  • Bien détenu depuis plus de 30 ans : exonération totale
  • Échange entre indivisaires suite à une succession ou un divorce : exonération spécifique (article 750 CGI)

⚠️ En revanche, aucune exonération spécifique n’est prévue en cas d’échange sans soulte : la fiscalité reste la même qu’une vente.


Avantages fiscaux par rapport à une vente classique

AspectVente classiqueÉchange immobilier
Frais de notairePayés deux fois (vente + achat)Payés une seule fois
SoulteNon concernéeSoumise à taxe si versée
Plus-value résidence principaleExonéréeExonérée
Durée de la transactionPlusieurs mois, souvent décorréléeSimultanée
Coût globalÉlevéRéduit de 20 à 30 % en moyenne

FAQ – Fiscalité et notaire en échange immobilier

Doit-on payer deux fois les frais de notaire ?
Non. Un seul acte est signé. Les frais sont dus une seule fois, calculés sur le bien de valeur la plus élevée.

Faut-il un notaire par partie ?
Non, un seul notaire peut représenter les deux parties, mais chacun peut aussi se faire assister par son propre notaire.

L’échange est-il plus avantageux fiscalement qu’une vente + achat ?
Dans la majorité des cas, oui. Moins de frais, plus de simplicité, exonérations conservées.

La taxe de plus-value s’applique-t-elle si je ne touche pas d’argent ?
Oui, si votre bien n’est pas votre résidence principale, la valeur de l’échange peut générer une plus-value imposable même sans soulte.

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Échange + coliving : mixer les deux dans un marché tendu

Paris est de nouveau sous tension : l’accès au logement se durcit, les délais de transaction s’allongent et chaque décision compte. Dans ce contexte, une alliance inattendue émerge : l’échange immobilier définitif — qui permet à deux propriétaires d’échanger leurs biens via un acte notarié — et le coliving — une colocation haut de gamme avec services. Ensemble, ils offrent une sortie par le haut : on se loge vite, on optimise ses coûts et on restaure de la flexibilité là où le marché la refuse. Ce guide Béa Immo vous montre comment articuler ces deux leviers, ce que dit la loi, et comment réussir votre opération à Paris.

Pourquoi l’alliance « échange + coliving » fait sens en 2025

Le marché se réveille à peine, avec des signes timides de reprise (légères hausses de prix à Paris), tandis que les taux se détendent autour de 3 % au printemps 2025. Résultat : la demande reste sélective, les arbitrages budgétaires serrés et l’envie de déménager… intacte. D’où l’intérêt de mécanismes qui réduisent le temps et le coût d’accès au bon logement.

Dans le même temps, le cadre réglementaire incite à produire des logements « efficaces » : extension du PTZ jusqu’en décembre 2027 sur le neuf, reclassification de nombreuses communes en zones tendues (dont Paris), et interdiction, depuis le 1er janvier 2025, de louer des logements classés G au DPE. Autant de paramètres qui influencent les stratégies des propriétaires et dopent l’appétence pour des solutions hybrides.

Échange immobilier définitif, en bref

Deux propriétaires échangent leurs biens via un notaire, avec éventuelle soulte si les valeurs diffèrent. L’acte est authentique, les diagnostics sont requis, et la fiscalité suit la logique d’une mutation à titre onéreux. L’intérêt : se « chausser » rapidement dans un bien adapté, éviter une double chaîne vente/achat et lisser les coûts.

Coliving, en bref

C’est une colocation structurée (baux individuels, espaces communs design, services), taillée pour actifs en mobilité ou étudiants internationaux. En zones tendues, il contribue à la fluidité résidentielle et peut rentabiliser des surfaces mal-optimisées.


À Paris : le duo qui résout trois contraintes

1. Le temps. Échanger évite la séquence « je vends puis j’achète ». Vous sécurisez votre futur toit sans trou d’air, un vrai plus dans une capitale où les décisions se prennent vite. Le coliving, lui, vous donne un plan B (ou un sas) immédiatement opérationnel.

2. Le budget. L’échange peut réduire certains coûts liés à une double transaction et limiter le besoin d’un prêt relais. Le coliving, avec des loyers mutualisés et des charges prévisibles, absorbe une partie des aléas pendant la transition.

3. Le cadre légal. Paris est en zone très tendue : la pression sur l’offre, les règles de location (dont la non-décence des DPE G depuis 2025) et l’attrait pour les logements performants énergétiquement incitent à des montages plus agiles.


Mode d’emploi : réussir « échange + coliving » à Paris

Identifier le bon partenaire d’échange.
Sur Béa Immo, filtrez par arrondissement, typologie (studio, 2 pièces, loft…) et critères (balcon, DPE, étage). Les recherches géolocalisées et descriptives captent la bonne intention : « échange appartement Paris 11 avec balcon », « échange T3 Paris rive gauche ».

Calibrer la valeur et la soulte.

  • Faites estimer objectivement les deux biens (références locales, état, DPE).
  • Ajustez via soulte pour équilibrer. Le notaire formalise l’acte et sécurise la mutation.

Sécuriser le financement.

  • Si besoin, un prêt relais peut rester utile, mais l’échange limite la durée d’exposition.
  • Le PTZ s’envisage sur le neuf sous conditions (utile si l’un des biens échangés est assimilable à une acquisition neuve dans votre parcours).

Préparer le dossier juridique.
Diagnostics (dont DPE), titres de propriété, états des risques, règlement de copropriété, procès-verbaux, charges. À Paris, la vigilance sur la conformité (travaux, usage) est clé.

Organiser le coliving comme « tampon » ou modèle durable.

  • En tampon : louer une chambre en coliving 3 à 6 mois, le temps de finaliser l’échange (période type d’une vente longue ou d’un financement).
  • En modèle durable : si vous échangez un grand appartement, l’exploiter en coliving légal et responsable peut améliorer la rentabilité, surtout en quartiers bien desservis.

Comparatif express

CritèreVente classique seuleÉchange + coliving
Délais4–6 mois (chaîne acheteur/vendeur)Compression des délais grâce à la synchronisation et au « sas » coliving
Visibilité coûtFrais segmentés, parfois imprévusCoûts lissés, soulte maîtrisée, besoin réduit de relais
SouplesseDépend du marché et de l’acheteurForte : deux parties alignées + solution d’occupation immédiate
Risques opérationnelsRupture de chaîne, logement transitoireRupture limitée, coliving absorbe l’attente
Adéquation au besoinParfois imparfaiteÉchange calibré sur critères (surface, quartier, DPE)

Cas d’usage (vécu par nos utilisateurs, noms modifiés)

Élise & Karim – Paris 12 → Paris 11.
Ils troquent leur 3 pièces lumineux contre un 2 pièces plus central. Une soulte compense la différence de valeur. Pour éviter la pression du calendrier, Karim prend une chambre en coliving près de la place de la République pendant 4 mois, le temps d’aligner financement et travaux. Résultat : zéro nuit d’hôtel, zéro garde-meubles, et une signature sereine.


Cadre 2024–2025 : ce qu’il faut retenir avant de vous lancer

  • Zones tendues : reclassification large en 2024, Paris reste au cœur de la tension. Impact : exigences accrues et intérêt pour des solutions agiles comme l’échange.
  • PTZ : prolongé/élargi jusqu’à décembre 2027 sur le neuf, utile pour recomposer votre financement post-échange.
  • DPE : logements classés G non décents depuis le 1er janvier 2025, attention aux travaux à planifier après l’échange.
  • Taux/crédit : détente confirmée en 2025, rendant les arbitrages plus lisibles.

Check-list Béa Immo

  • Définir objectifs (quartier, surface, budget, DPE mini).
  • Publier une fiche d’échange complète (photos, plan, charges, DPE, travaux).
  • Pré-calculer une fourchette de soulte.
  • Vérifier faisabilité de coliving (copropriété, bail adapté, conformité).
  • Anticiper le calendrier : option « vente longue » si utile, avec dates jalons claires.
  • Verrouiller diagnostics et pièces avant le rendez-vous notaire.

FAQ

L’échange est-il aussi sûr qu’une vente ?
Oui. Il passe par un acte notarié, engage des diagnostics et suit la fiscalité d’une mutation à titre onéreux. La différence de valeur se règle par soulte.

Puis-je cumuler échange et prêt relais ?
Oui, mais l’échange peut réduire la durée de relais nécessaire en synchronisant les opérations.

Quel impact du DPE à Paris ?
Un bien classé G n’est plus louable depuis le 1er janvier 2025 : anticipez un plan de travaux si vous comptez louer (coliving inclus).

Le PTZ peut-il m’aider après un échange ?
Sur le neuf, jusqu’en décembre 2027, oui sous conditions : utile pour compléter votre schéma de financement post-échange.

Pourquoi parler de « vente longue » ici ?
Parce que la vente longue décale la signature de l’acte définitif et vous laisse le temps de vous organiser (financement, déménagement). Combinée à un coliving temporaire, elle lisse votre parcours.

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