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Énergie et DPE : le levier le plus sous-estimé pour vendre plus vite (et mieux)

Dans les visites, on parle cuisine, lumière, plan… et, désormais, performance énergétique. Les acheteurs comparent les étiquettes, anticipent les factures, et savent que les logements sans travaux, bien classés au DPE, se vendent plus vite et négocient moins. Bonne nouvelle : en quelques semaines, il est possible d’améliorer la lisibilité énergétique de votre bien – parfois son étiquette – et de sécuriser votre prix. Voici la méthode Béa Immo, très concrète, pour préparer votre vente.

Pourquoi l’énergie devient un critère décisif

Depuis que la rénovation énergétique structure la valeur d’un logement, le DPE n’est plus une formalité : il rassure, accélère, et pèse sur la négociation. Les biens correctement classés et ne nécessitant pas de gros travaux attirent plus de visites, se revendent plus rapidement, et résistent mieux aux offres agressives. A contrario, une passoire thermique cristallise les incertitudes (coûts, délais, artisans) et étire les délais de transaction.

Au-delà du prix, deux éléments retiennent l’attention des acheteurs :

  • Le “coût d’usage” (chauffage, eau chaude, confort d’hiver/été) mis en perspective par le DPE.
  • La lisibilité du parcours travaux : un bien « prêt à habiter » avec une étiquette correcte inspire confiance, même si tout n’est pas parfait.

Avant de publier l’annonce : sécuriser le socle réglementaire

  • Commandez un DPE à jour (valide 10 ans, plus court si travaux). Vérifiez que le diagnostiqueur est certifié et assurez-vous que toutes les factures utiles (chaudière, isolation, menuiseries) lui sont remises.
  • Cas des logements classés F/G : un audit énergétique réglementaire doit accompagner la vente (il propose des scénarios de travaux, chiffrés et phasés). C’est un atout en visite : vous transformez un “risque” en plan d’action.
  • Dossier de diagnostics complet (électricité, gaz, amiante, plomb, ERP…). Moins d’ombre = moins de négociation.

10 actions rapides (et crédibles) pour améliorer la perception… et parfois l’étiquette

Ces leviers sont classés du plus “flash” au plus “structurel”. Leur objectif : faciliter la compréhension énergétique, réduire les déperditions visibles et, lorsque c’est pertinent, viser un gain d’étiquette.

ActionDélai indicatifBudget indicatifImpact attendu
Entretien chaudière / PAC + équilibrage radiateurs1–2 sem.€€Baisse conso, confort immédiat
Calorifugeage tuyaux + mousse sous radiateurs1 jourDéperditions réduites
Pose de robinets thermostatiques / régulation1 jour€€Confort, pilotage fin
Étanchéité à l’air (bas de portes, boîtes à volet, prises)1–3 joursConfort hiver/été
Ventilation : révision ou remplacement bouches VMC1–2 jours€–€€Air sain, évite surconsommations
Remplacement éclairage par LED + minuteries parties communes1 jourCharges réduites (copro + maison)
Isolation des combles perdus (maison)1–2 jours€€Gros levier : jusqu’à un saut d’étiquette possible selon cas
Menuiseries performantes (pièces clés)1–2 sem.€€€Confort + déperditions, parfois gain d’étiquette
Chauffe-eau performant (thermodynamique)1–2 jours€€€Baisse conso ECS notable
Programmation chauffage pièce par pièce1 jour€–€€Factures mieux maîtrisées

Astuce Béa Immo : regroupez les justificatifs (factures, fiches techniques, photos « avant/après ») dans un “Carnet Énergie du bien” à remettre en visite. Même si l’étiquette n’évolue pas, la preuve d’une dépense maîtrisée est un argument commercial solide.


Viser un palier d’étiquette : quand l’effort en vaut la peine

Dans certaines configurations, un combo “combles + ventilation + pilotage chauffage” peut faire gagner un palier (ex. de E vers D). Sur un appartement, menuiseries ciblées (façade froide) + réglage émetteurs + VMC améliore souvent le confort et la conso.

Règle d’or : ne promettez jamais un saut d’étiquette sans étude. Faites pré-simuler votre cas (diagnostiqueur, auditeur, conseiller France Rénov’). L’objectif n’est pas de tout refaire, mais de déverrouiller les points noirs qui effraient les acheteurs.


Aides et financements : rendre l’équation vendeuse

  • MaPrimeRénov’ : finance des gestes (isolation, ventilation, chauffage performant) ou une rénovation d’ampleur (objectif : gagner au moins 2 classes, avec bouquet de travaux).
  • Éco-PTZ : prêt à taux zéro jusqu’à 50 000 € selon l’ampleur des travaux, souvent cumulable avec MaPrimeRénov’.
  • Copropriété : renseignez-vous sur les dispositifs dédiés (travaux votés, subventions locales). Pour un vendeur, montrer que l’ingénierie financière est clarifiée sécurise l’acheteur et préserve le prix.

Conseil Béa Immo : dans l’annonce, annoncez les aides mobilisables sur le bien (et leur ordre de grandeur). Ce n’est pas un engagement, c’est une boussole pour l’acheteur.


Mise en scène “énergie” dans l’annonce et en visite

  • Accroche : valorisez le classement DPE et le coût annuel théorique fourni par le diagnostic.
  • Bullets “confort” : orientation, inertie du bâti, ventilation fonctionnelle, mitigeurs, robinets thermostatiques, programmation.
  • Preuves visuelles : photos du grenier isolé, des bouches de VMC neuves, des joints de fenêtres, du carnet d’entretien chaudière.
  • Projection : si F/G, joignez un plan de travaux “en deux temps” (gain immédiat + gain structurel). Vous transformez un frein en feuille de route.

Cas pratiques (vécus Béa Immo)

  • Maison 1975, 95 m², étiquette E : isolation combles + équilibrage radiateurs + VMC hygro B → confort en 10 jours, consommation stabilisée ; mise en vente avec dossier factures ; négociation limitée à 2,5 %.
  • Appartement traversant années 60, étiquette D : réglage chauffage collectif + robinets thermostatiques + joints menuiseries → ressenti confort été/hiver, conso mesurée en baisse sur charges ; 6 visites qualifiées en 8 jours, offre au prix.

Check-list express avant la mise en vente

  • DPE et, si F/G, audit énergétique en main.
  • Carnet Énergie (factures, fiches techniques, photos).
  • Équipements réglés et entretenus (chaudière/PAC, VMC).
  • Petites fuites d’air traitées et points de déperdition visibles.
  • Message clair dans l’annonce : classement, coûts, aides mobilisables.

FAQ rapide

Dois-je refaire un DPE après de petits travaux ?
Pas obligatoire, mais pertinent si les gains sont mesurables (isolation combles, changement ECS). Un nouveau DPE peut améliorer l’étiquette et la perception.

Un logement F/G peut-il se vendre vite ?
Oui, s’il est documenté : audit clair, devis cadrés, planning de travaux et aides identifiées. L’incertitude, plus que le chantier, freine l’acheteur.

Quel est le meilleur “premier geste” ?
Souvent combles (maison) ou ventilation + réglages (appartement). C’est rapide, lisible et rentable.

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Définition et principe de l’échange immobilier définitif

Échanger son bien contre celui d’un autre propriétaire, sans passer par une vente puis un rachat, c’est possible — et parfaitement légal. Chez Béa Immo, nous avons bâti toute une méthode autour de cet échange immobilier définitif : un acte unique signé chez le notaire, la possibilité d’une soulte si les valeurs diffèrent, et, souvent, moins de frais que deux transactions séparées. Voici, sans détour, comment ça marche et sur quoi s’appuie la loi.

Qu’est-ce que l’échange immobilier définitif ?

En droit français, l’échange est un contrat par lequel chaque partie transmet une chose en contrepartie d’une autre. Autrement dit : vous cédez votre logement et recevez celui de votre co-échangiste, en une seule opération. Le Code civil le définit explicitement et l’assimile, pour sa formation, à la vente (mêmes mécanismes de consentement, mêmes garanties de droit commun).

Dans la pratique immobilière, l’acte est unique et se signe devant notaire, ce qui simplifie les démarches par rapport à une vente suivie d’un achat.


Le cadre légal en deux repères

  • Article 1702 du Code civil : « L’échange est un contrat par lequel les parties se donnent respectivement une chose pour une autre. » (référence de base qui autorise ce type d’opération).

  • Fiscalité spécifique (CGI, art. 684) : un échange d’immeubles supporte une taxe de 5 % (taxe de publicité foncière ou droit d’enregistrement). Si les biens ont valeur égale, la taxe de 5 % frappe la valeur d’un seul lot ; s’ils sont de valeur différente, la taxe de 5 % porte en principe sur le lot le moins élevé et la soulte est taxée comme une vente au taux ordinaire (DMTO).

Comment ça se passe avec Béa Immo ?

  1. Mise en relation qualifiée : vous publiez votre bien et vos critères sur Béa ; vous explorez ceux des autres propriétaires.
  2. Match & visites : quand deux annonces se plaisent, nos accompagnateurs organisent les visites et cadrent les points clés (valeurs, délais, éventuelle soulte).
  3. Avant-contrat : on peut formaliser une promesse synallagmatique d’échange avec conditions suspensives (financement, purge des préemptions, diagnostics…).
  4. Acte d’échange chez le notaire : un seul acte authentique transfère chaque propriété à l’autre, simultanément.

Frais & fiscalité : qui paie quoi, et pourquoi c’est souvent moins cher

Trois idées claires :

  • L’échange est une mutation à titre onéreux : il y a bien des droits à payer, mais pas deux fois comme dans une vente + un achat.
  • 5 % s’appliquent (CGI, art. 684) sur un seul lot (ou le moins élevé si valeurs différentes).
  • La soulte, si elle existe, est taxée au taux ordinaire des DMTO (celui d’une vente « classique » dans le département).

Béa Immo communique — à juste titre — sur des économies potentiellement substantielles grâce à cet assiette plus étroite et à l’acte unique. Selon nos contenus et cas pratiques, jusqu’à 60 % d’économies sur les frais de notaire peuvent être constatées, selon la configuration et le département.

Exemple chiffré (pédagogique, hors émoluments et débours du notaire)

HypothèseValeurBase & tauxMontant indicatif
Bien A300 000 €
Bien B400 000 €
Échange (valeurs différentes)5 % sur le lot le moins élevé (A)15 000 €
Soulte (pour équilibrer)100 000 €DMTO au taux ordinaire (ex. 5,80 % usuel)5 800 €
Total taxes≈ 20 800 €

À comparer, à très gros traits, aux droits de deux ventes séparées, chacun calculé sur la valeur totale du bien (auxquels s’ajoutent partout les émoluments du notaire et débourses). Résultat : l’échange réduit l’assiette taxable, d’où un gain fréquent. (Les taux « ordinaires » varient selon le département ; l’étude notariale ajuste précisément.)


Soulte : la clé d’un échange équilibré

Si les biens n’ont pas la même valeur, la partie recevant le bien le plus cher verse à l’autre une soulte. Elle équilibre l’opération et détermine en partie la fiscalité (taxée comme une vente). Sur le blog Béa, nous vulgarisons son rôle, ses impacts bancaires et les bonnes pratiques d’évaluation.


Avantages concrets par rapport à une vente + un achat

  • Simplicité : un seul acte au lieu de deux.
  • Calendrier synchronisé : vous évitez le prêt relais et les doubles déménagements.
  • Économies possibles : assiette taxable réduite et frais mutualisés.
  • Sécurité juridique : mêmes diagnostics et garanties qu’une vente classique (acte authentique, publication foncière).

Points de vigilance

  • Accords bancaires : en cas de crédit ou d’hypothèque, la banque doit valider l’opération (transfert, mainlevée, nouveau prêt).
  • Estimation réaliste : deux valeurs « justes » évitent une soulte mal calibrée et des frictions.
  • Spécificités fiscales : régime de la plus-value identique à une cession classique (hors résidence principale). Pour les droits d’enregistrement, fiez-vous aux règles de l’art. 684 CGI et, le cas échéant, aux régimes spéciaux du BOFiP.

Foire aux questions

Est-ce légal ?
Oui. L’échange est un contrat prévu par le Code civil (art. 1702 et s.), conclu par acte notarié.

Pourquoi un seul acte suffit-il ?
Parce que l’acte d’échange authentifie simultanément la transmission croisée des propriétés.

Comment se calculent les droits ?
En principe 5 % sur un seul lot (ou le moins cher si valeurs différentes) + taux ordinaire sur la soulte. Les émoluments et débours s’ajoutent comme pour toute mutation.

Peut-on échanger avec un crédit en cours ?
Oui, sous réserve d’accord bancaire (transfert, remboursement par soulte,

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Échange immobilier à Paris : comment fonctionne le troc de logements ?

À Paris, où le marché immobilier est souvent saturé et les prix vertigineux, une solution innovante séduit de plus en plus de propriétaires : l’échange immobilier définitif. Véritable troc entre particuliers, cette formule permet de changer de logement sans passer par une vente classique. Explications.


L'échange immobilier, qu’est-ce que c’est ?

L’échange immobilier consiste à céder son bien à un autre propriétaire, qui en fait autant en retour, dans un acte unique. Contrairement à un échange temporaire type "HomeExchange", il s'agit ici d’un transfert de propriété définitif, notarié, et reconnu par le Code civil (article 1702 et suivants).

À Paris, cette solution séduit de plus en plus de propriétaires souhaitant changer de quartier, gagner une pièce ou s’adapter à une nouvelle configuration de vie (retraite, séparation, naissance, etc.) sans passer par les circuits classiques, souvent longs et coûteux.


Comment fonctionne concrètement un échange d’appartements à Paris ?

L’échange se déroule en plusieurs étapes essentielles :

  • Recherche de compatibilité : chaque propriétaire doit trouver un bien qui correspond à ses attentes et dont le propriétaire souhaite également échanger.
  • Évaluation des biens : les appartements sont estimés par un professionnel ou via des outils en ligne pour équilibrer la valeur des échanges.
  • Soulte éventuelle : si un bien est plus cher que l’autre, l’écart est compensé par une soulte versée par le propriétaire du bien le moins cher.
  • Signature d’un acte notarié unique : les deux transferts de propriété sont actés ensemble, avec des frais de notaire calculés sur la valeur la plus élevée, au prorata des droits de mutation.

Pourquoi opter pour un échange immobilier à Paris ?

Les avantages sont nombreux :

  • Économies sur les frais de transaction : pas de frais d’agence, et les frais de notaire peuvent être réduits grâce à une seule opération.
  • Gain de temps : la vente et l’achat sont simultanés, ce qui évite les chaînes de vente longues et incertaines.
  • Simplicité administrative : une seule signature, une seule négociation, deux projets qui avancent ensemble.

Quels sont les critères à considérer pour un échange réussi ?

  • Localisation : à Paris, un appartement dans un quartier comme le Marais ou Montmartre ne se troque pas à la même valeur qu’un bien dans le 19e.
  • Type de bien : superficie, nombre de pièces, état général, DPE… Tous les critères comptent.
  • Équité de valeur : un bon échange repose sur une perception équitable de la valeur des biens, validée par une estimation fiable.

Qui peut échanger son bien à Paris ?

Tout propriétaire peut envisager un échange, sous réserve que son bien soit libre de tout engagement (location, indivision, hypothèque non résolue). Même avec un crédit immobilier en cours, l’échange est possible via un remboursement anticipé ou une subrogation de prêt, à discuter avec son établissement bancaire.


Est-ce légal ? Quel est le rôle du notaire ?

L’échange est parfaitement encadré par la loi française. Le notaire joue un rôle central :

  • Il vérifie les titres de propriété
  • Il s’assure de la conformité juridique des deux biens
  • Il rédige un acte unique de transfert croisé
  • Il calcule les droits de mutation et la soulte éventuelle

Paris, un terrain favorable à l’échange immobilier ?

Oui. Avec un marché tendu, des prix élevés et une forte demande intra-muros, l’échange peut être une alternative vertueuse à la transaction classique. Il permet aussi de sauter l’étape du crédit relais, souvent source de stress.

Des plateformes comme Béa Immo facilitent désormais la mise en relation entre propriétaires ouverts à l’échange, avec un accompagnement dédié et des outils d’estimation intégrés.


Exemple réel : un échange dans le 12e et le 17e

Claire, enseignante dans le 12e, voulait se rapprocher de son lieu de travail dans le 17e. Jean, retraité, souhaitait l’inverse pour vivre près du bois de Vincennes. Grâce à l’échange, ils ont chacun trouvé mieux... sans débourser un centime en frais d’agence. Une soulte de 15 000 € a permis d’équilibrer les deux biens.


FAQ – Échange immobilier à Paris

Peut-on échanger un bien avec un locataire en place ?
Non, les biens doivent être libres de toute occupation lors de la signature de l’acte.

Faut-il un DPE ?
Oui, comme pour toute vente immobilière, un diagnostic de performance énergétique est obligatoire.

Quels sont les frais de notaire ?
Ils s’élèvent à environ 7 à 8 % sur la valeur la plus élevée, sauf en cas d’abattement ou de calcul spécifique convenu par le notaire.

Et si les deux biens n’ont pas la même valeur ?
Une soulte permet d’ajuster la différence. Elle peut être payée comptant ou via un prêt immobilier.

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