Vous recevez un e-mail vous expliquant les étapes suivantes.
1. Je match !
Vous avez aimé un bien? Le propriétaire de celui-ci a aussi un coup de cœur pour le votre?
Félicitations, c’est un match !
2. La vérif’
Ne sortez pas tout de suite le champagne, car Béa demandera à chacun de confirmer son intérêt pour le bien (on ne sait jamais).
3. La visite
Béa se charge d’organiser les visites des biens si vous désirez aller plus loin.
Avant la visite, un mandat de recherche sera signé par les deux parties. Il engage chaque partie à garder Béa dans la boucle en cas de transaction.
C’est plus sûr pour vous (comme pour nous).
4. La négo
En tant que facilitateur neutre, nous vous accompagnerons dans les différentes étapes de négociations. Sans parti pris et en toute transparence, nous définirons ensemble les détails de l’échange (date d’emménagement, de signature, derniers ajustements des prix…)
5. Le financement
Besoin d’un crédit? Vous pouvez compter sur nos experts pour échanger avec votre banquier en cas de nécessité. Les banques partenaires de Béa sont aussi à votre écoute pour financer votre échange.
6. Un acte notarié unique
Même chose avec votre notaire : nos experts peuvent échanger avec votre notaire ou vous trouver le notaire qu’il vous faut. Avec l’échange, un seul acte notarié suffit. C’est un gain de temps et d’argent pour devenir acquéreur en toute simplicité.
7. La bonne affaire
Félicitations ! Vous êtes maintenant propriétaire d’un nouveau bien et vous avez réalisé LA bonne affaire. À vous de faire votre B.A en partageant le bon plan autour de vous pour aider la communauté à s’agrandir 🙂
En 2025, le marché immobilier parisien reste sous pression dans certains quartiers emblématiques. Le Marais, Montmartre, le 16ᵉ ou encore les Batignolles attirent toujours autant… mais acheter y reste complexe. L’échange immobilier définitif devient alors une alternative de plus en plus prisée. Zoom sur les secteurs les plus recherchés, et les budgets à prévoir.
Pourquoi ces quartiers sont-ils en tension ?
Malgré une stabilisation des prix à Paris en 2025 (+0,2 % au 1er semestre), certains arrondissements continuent de cristalliser toutes les attentions des acquéreurs… et donc des échangeurs. Leurs atouts ? Cadre de vie, patrimoine, transports, écoles, commerces. Mais la rareté de l’offre pousse de plus en plus de propriétaires à passer par l’échange plutôt que par une vente longue et incertaine.
Le Marais (3ᵉ et 4ᵉ arrondissements)
Profil recherché : T2/T3 lumineux avec cachet de l’ancien, poutres, cheminées, au 3ᵉ étage minimum. Souvent troqué contre une maison ou un grand appartement en proche banlieue chic (Le Vésinet, Sceaux).
Prix moyen en 2025 :
13 800 €/m² – soit 966 000 € pour un 70 m²
Tension du marché : Extrême. L’offre est limitée, la demande stable mais très qualifiée. L’échange permet de sécuriser l’opération entre propriétaires.
Montmartre (18ᵉ arrondissement – secteur Lamarck/Caulaincourt)
Profil recherché : Duplex, dernier étage avec vue, petites surfaces bien agencées avec charme. Échange fréquent contre maison de caractère en grande couronne (Fontainebleau, Rambouillet).
Prix moyen en 2025 :
11 400 €/m² – soit 684 000 € pour un 60 m²
Tension du marché : Forte. Quartier recherché par des profils artistiques ou internationaux. L’échange offre une fluidité bienvenue.
16ᵉ arrondissement (Passy, La Muette, Jasmin)
Profil recherché : Grands appartements familiaux avec balcon, proche écoles bilingues, étage élevé avec ascenseur. Souvent échangés contre maisons avec jardin dans les Hauts-de-Seine.
Prix moyen en 2025 :
11 600 €/m² – soit 1 160 000 € pour un 100 m²
Tension du marché : Forte. Peu de mobilité dans le parc privé. L’échange entre familles permet des ajustements personnalisés (soulte, délai de libération…).
Batignolles et Martin Luther King (17ᵉ arrondissement)
Profil recherché : T3-T4 moderne avec espace extérieur. Nombreux échanges contre maisons contemporaines à Colombes, Asnières, Saint-Ouen.
Prix moyen en 2025 :
10 900 €/m² – soit 763 000 € pour un 70 m²
Tension du marché : Croissante. Le quartier attire les jeunes actifs avec enfants. L’échange est souvent une solution pour gagner en surface sans perte de confort.
Autres quartiers très demandés en 2025
Quartier
Prix moyen au m²
Typologie recherchée
Type de bien échangé contre
Canal Saint-Martin (10e)
11 800 €
Loft, T2 refait à neuf
Maison à Montreuil ou Romainville
Alésia (14e)
10 700 €
T3 lumineux avec vue dégagée
Maison avec jardin dans le 94
Nation (11e/12e)
10 900 €
T2/T3 avec balcon
Maison de ville dans le Val-de-Marne
Saint-Paul (4e)
13 600 €
Duplex atypique
Maison ancienne à Meudon
L’échange immobilier : une réponse aux blocages du marché
Dans ces arrondissements en tension, l’échange permet :
Un accès direct à un bien très convoité
Une économie sur les frais de notaire (comparé à un double acte)
Une simultanéité vente/achat qui sécurise la transaction
Une meilleure adaptation entre particuliers sans passer par le marché libre
Conseils pratiques pour réussir son échange
Faites estimer votre bien à sa juste valeur (plateforme comme Béa Immo)
Renseignez-vous sur les soultes possibles : elles permettent d’équilibrer des écarts de valeur
Préparez votre dossier avec votre notaire en amont : diagnostics, titre de propriété, prêt éventuel
FAQ – Quartiers recherchés pour échange à Paris
Puis-je échanger mon bien si sa valeur est inférieure à celui que je souhaite ? Oui, à condition de verser une soulte compensatoire.
Les prix sont-ils négociables dans un échange ? Moins qu’en vente classique. L’équilibre global prime sur la négociation pure.
Peut-on échanger un bien dans un arrondissement “moins coté” contre un bien dans un quartier recherché ? Oui, mais il faudra souvent ajouter une soulte ou proposer un bien avec des prestations supérieures.
À Lyon, 2025 marque un marché toujours exigeant : des prix qui se sont ajustés mais restent élevés dans les quartiers les plus convoités, des délais qui s’allongent sur certains segments, et des contraintes réglementaires (encadrement des loyers, DPE G interdits à la location) qui tendent l’offre. Dans ce contexte, l’échange immobilier définitif — un seul acte notarié, possibilité de soulte, économies de frais — s’impose comme un raccourci concret pour boucler une transaction sans passer par la case « vente puis rachat ». Voici comment en tirer parti à Lyon et dans sa périphérie.
Le marché lyonnais en 2025 : où se situent les prix au m² ?
À l’échelle de la ville de Lyon, les prix de vente se situent autour de 4 800 à 5 000 €/m² au 1ᵉʳ septembre 2025 (moyenne/ médiane selon les sources, ancien et neuf confondus). Les bases de référence indiquent 4 785 €/m² (estimation MeilleursAgents) et 4 962 €/m² médian tout type de biens d’après Le Figaro Immobilier ; l’ancien tourne autour de 4 502 €/m² médian et le neuf autour de 5 930 €/m² médian (estimations au 01/08/2025).
Fourchettes par quartiers/communes (appartements, médian quand disponible)
Quartier / Commune
Prix indicatif €/m²
Variations / précisions
Lyon intra-muros
~4 800–5 000
Ville entière (ancien + neuf) selon sources croisées (sept. 2025).
Médian au 01/08/2025 ; ancien ≈ 4 291, neuf ≈ 6 276.
Sainte-Foy-lès-Lyon (Ouest)
≈ 3 846 (appart.)
Médian appartements ; tendance baissière sur 1 an.
Ces niveaux confirment un écart ville/banlieue : Villeurbanne reste l’alternative « budget » la plus recherchée pour les appartements, tandis que l’Ouest lyonnais (Tassin, Écully, Sainte-Foy) concentre la clientèle familiale en quête d’espace, de verdure et d’écoles, avec une prime sur les biens rénovés et les maisons avec extérieur.
Pourquoi parle-t-on encore d’un marché « tendu » ?
Encadrement des loyers reconduit à Lyon et Villeurbanne (arrêtés préfectoraux reconduits jusqu’en 2024, en vigueur depuis 2021) : indicateur d’une pression locative persistante.
Zonage A / B1 : la révision 2024–2025 a étendu les zones dites « tendues », consolidant l’attractivité métropolitaine et ses contraintes.
Réglementation DPE : interdiction de louer les logements classés G depuis le 1ᵉʳ janvier 2025 — un tri naturel dans l’offre locative et un report de demande vers les logements performants.
Crédit : taux moyens autour de 3,07–3,08 % au printemps-été 2025 ; cela débloque des projets mais ne lève pas toutes les frictions (apport, HCSF, scoring).
Où acheter / échanger en priorité à Lyon en 2025 ?
Croix-Rousse (Plateau et pentes)
Ambiance de « village » au cœur de la ville, commerces indépendants, écoles, vues et bonne liquidité sur les surfaces familiales bien rénovées. Les appartements se négocient autour de 5 600 €/m² sur le Plateau Ouest ; le charme des canuts bien traités conserve une vraie valeur refuge.
Ouest lyonnais (Tassin, Écully, Sainte-Foy…)
Le triangle Tassin–Écully–Sainte-Foy reste l’eldorado des familles qui veulent jardin, balcons, stationnement facile et accès rapide au centre. Compter ≈ 5 300 €/m² à Tassin pour un appartement, ≈ 4 850 €/m² à Écully (tous biens), ≈ 3 850 €/m² pour un appartement à Sainte-Foy. L’hétérogénéité est forte selon l’état (DPE, rénovations), l’altimétrie et la desserte.
Villeurbanne
Toujours la porte d’entrée la plus accessible pour Lyon intra-métropole, intéressante pour optimiser le ratio m² / budget, avec un ancien médian ≈ 3 610 €/m² et un neuf ≈ 5 185 €/m².
L’échange immobilier définitif : le raccourci pour conclure plus vite (et souvent moins cher)
Le principe en deux phrases
Deux propriétaires échangent leurs biens dans un seul acte authentique chez le notaire ; si les valeurs diffèrent, l’un verse une soulte pour compenser. C’est juridiquement une mutation à titre onéreux (comme une vente), avec une fiscalité propre à l’échange.
Pourquoi c’est plus rapide à Lyon en 2025
Un seul calendrier : plus besoin d’aligner une vente, un prêt relais et un achat derrière — l’acte synchronise les transferts de propriété.
Moins de dépendances de chaîne : on ne « subit » pas la solvabilité d’un acquéreur puis la disponibilité d’un vendeur ; on verrouille une contrepartie unique et des conditions suspensives ciblées (financement, purge des droits de préemption, diagnostics).
Moins de frottements réglementaires : sur un marché locatif encadré et sous tension énergétique (DPE), l’échange permet de muter directement des résidences principales sans passer par un bail transitoire ou un prêt relais.
Et côté frais : pourquoi on économise souvent
Le régime de droit commun prévoit que les échanges d’immeubles supportent un droit / une taxe au taux de 5 % perçu au profit de l’État, calculé sur la valeur d’un seul lot (en pratique, le plus faible si valeurs différentes). La soulte, elle, est taxée comme une vente (DMTO au taux « ordinaire » du département, ≈ 5,8 % dans la plupart des cas en ancien), auxquels s’ajoutent émoluments et débours.
Exemple pédagogique (Lyon Métropole) • Appartement Croix-Rousse : 520 000 € • Maison à Francheville : 620 000 € • Échange : droit à 5 % sur le lot le moins élevé (520 000 €) = 26 000 € (hors émoluments/débours). • Soulte : 100 000 € versée par l’acquéreur de la maison ; DMTO « ancien » ≈ 5,8 % sur 100 000 € = 5 800 € (hors émoluments/débours). Total taxes ≈ 31 800 € (à comparer à deux ventes séparées, chacune taxée sur le prix total du bien). Répartition au prorata des valeurs ou selon accord entre parties.
Dans les faits, l’étude notariale ajuste précisément l’assiette et la ventilation (et peut recommander, au cas par cas, l’application du tarif « ventes » si plus favorable).
Mode d’emploi d’un échange réussi à Lyon (version terrain Béa)
Estimer juste (Croix-Rousse ≠ Montchat ≠ Tassin) : confronter deux avis et les bases locales récentes.
Calibrer la soulte : anticiper l’accord bancaire si l’un des biens est grevé d’un prêt/hypothèque ; la soulte peut solder un crédit.
Signer un avant-contrat d’échange : conditions suspensives classiques (financement, diagnostics conformes, purge des droits de préemption).
Acte unique chez le notaire : publication foncière et transfert simultané. Gain de temps notable sur la logistique de déménagement et la remise des clés.
Cas d’usage fréquent à Lyon
Monter d’un cran sans prêt relais : un couple de Villeurbanne échange son T3 récent contre une maison à Écully avec soulte ; ils évitent la double opération et s’installent en une date unique.
Réduire et se rapprocher : des propriétaires d’une maison à Tassin troquent contre un 4 pièces lumineux à la Croix-Rousse pour gagner en confort urbain (ascenseur, commerces) sans immobiliser un prêt relais.
FAQ express
Un échange est-il légal et sécurisé ? Oui. C’est un contrat prévu par le Code civil, formalisé par acte notarié avec les mêmes garanties (publicité foncière, diagnostics).
Qui paie quoi ? Le droit d’échange 5 % sur un seul lot et les DMTO sur la soulte ; émoluments/débours s’ajoutent. La répartition se fait d’un commun accord ou au prorata.
Et si l’un des biens est loué ? Vigilance renforcée depuis l’interdiction de louer les DPE G et l’encadrement des loyers à Lyon/Villeurbanne : cela affecte la valorisation et les conditions de sortie du locataire.
Les taux aident-ils la reprise ? Ils se stabilisent vers 3,07–3,08 % mi-2025 : un soutien relatif à la solvabilité, sans effacer l’exigence d’apport et les règles HCSF.
Lorsqu’on parle de vente immobilière, on a souvent en tête l’idée d’opter automatiquement pour un espace plus spacieux. Mais en pleine crise immobilière, cette croyance est plus que jamais remise en question. Car vendre pour acquérir un logement plus petit ou à taille égale est une réalité de plus en plus courante. Et changer volontairement pour plus petit s’impose comme une nouvelle tendance du marché.
Plus petit, pour une nouvelle étape de vie
De plus en plus de français en transition sont à la recherche de logements plus petits pour redémarrer sur un nouveau pied. Parmi eux, les divorcé.e.s tiennent le haut du pavé. En 2022, plus de 130 000 ménages finissaient par divorcer, un chiffre en constante augmentation. Alors que plus de la moitié des couples sont propriétaires, c’est autant de personnes qui font la part belle aux recherches de biens plus modestes, adaptés aux familles mono-parentale et/ou recomposées.
Dans une moindre mesure parmi les plus de 110 000 nouvelles personnes en surendettement chaque année, plus d’une sur dix est propriétaire de son logement. Une réévaluation de son besoin immobilier pour faire face au besoin de trésorerie peut advenir, et une attention maximale sera portée sur les opportunités de réduction de frais et de charges en cas de transaction.
Changer de cadre de vie, mais pas de budget immobilier
À budget équivalent, chacun peut transformer son cadre de vie en choisissant de déménager plus au vert, plus proche du centre ville, de l’océan, d’un meilleur ensoleillement… Aujourd’hui près de 32% des salariés envisagent une mobilité professionnelle dans les deux ans. Les carrières évoluent, elles se transforment, et le besoin d’agilité immobilière est plus fort que jamais. Se rapprocher de son lieu de travail est une nécessité, surtout pour les 10% d’actifs dont la priorité est de changer de ville ou de région (15% pour les actifs franciliens).
L’immo-sobriété, une solution vers le mieux vivre
Inflation, crise énergétique, crise immobilière, crise environnementale, crise de retraites… l’ostentatoire n’est plus à la mode, et l’accumulation de pièces à vivre ou d’hectares de jardins ne fait plus sens aujourd’hui.
Pour les 720 000 français qui arrivent en retraite chaque année, la voie de la sobriété s’impose comme une évidence. Avec la baisse des revenus induite par la retraite, et après le départ de leurs enfants pour créer leur propre vie, leur maison familiale est devenue bien trop grande pour deux personnes. Ils envisagent plus facilement des projets de voyage ou de maison secondaire et cherchent à réduire le nombre de pièces, le montant de leurs charges ou de leurs impôts. Déménager représente aussi l’opportunité de choisir un cadre de vie plus accessible, plus confortable ou de se rapprocher des enfants et petits-enfants plus mobiles que jamais.
De plus, la vente de leur bien leur permet de soutenir leurs enfants dans leur premier achat immobilier dans un contexte de durcissement du marché et de réduction du pouvoir d’achat.
Un choix de raison donc, comme celui de choisir d’occuper simplement le juste espace nécessaire pour limiter au maximum son impact environnemental. Une solution notamment prônée par Jean-Marc Jancovici, président du Think Tank The Shift Project. Il souligne que 86% des logements occupés par des propriétaires sont en situation de sous-occupation, à savoir qu’ils possèdent plus de pièces nécessaires au logement de ses occupants. La sous-occupation très accentuée (au moins trois pièces de plus par rapport à la situation de référence) est aussi liée à la propriété : parmi les 23,3 % de ménages dans cette situation, plus de 9 sur 10 sont propriétaires.
L’échange immobilier, une réponse d’avenir
Proposer à deux propriétaires d’échanger la propriété de leur biens sans passer par l’achat/vente comporte de nombreux avantages. En réduisant jusqu’à 60% des frais de notaire, la mobilité immobilière devient plus accessible que jamais. Le prêt relais disparaît, les démarches sont simplifiées, et ce marché de l’immobilier alternatif permet de faire se rencontrer les français en recherche d’une surface plus grande, avec ceux qui au contraire envisagent une réduction plus confortable, économique, ou plus en phase avec leurs convictions écologiques.