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Ces français qui ne cherchent pas forcément plus grand

Lorsqu’on parle de vente immobilière, on a souvent en tête l’idée d’opter automatiquement pour un espace plus spacieux. Mais en pleine crise immobilière, cette croyance est plus que jamais remise en question. Car vendre pour acquérir un logement plus petit ou à taille égale est une réalité de plus en plus courante. Et changer volontairement pour plus petit s’impose comme une nouvelle tendance du marché.

Plus petit, pour une nouvelle étape de vie

De plus en plus de français en transition sont à la recherche de logements plus petits pour redémarrer sur un nouveau pied. Parmi eux, les divorcé.e.s tiennent le haut du pavé. En 2022, plus de 130 000 ménages finissaient par divorcer, un chiffre en constante augmentation. Alors que plus de la moitié des couples sont propriétaires, c’est autant de personnes qui font la part belle aux recherches de biens plus modestes, adaptés aux familles mono-parentale et/ou recomposées.

Dans une moindre mesure parmi les plus de 110 000 nouvelles personnes en surendettement chaque année, plus d’une sur dix est propriétaire de son logement. Une réévaluation de son besoin immobilier pour faire face au besoin de trésorerie peut advenir, et une attention maximale sera portée sur les opportunités de réduction de frais et de charges en cas de transaction.

Changer de cadre de vie, mais pas de budget immobilier

À budget équivalent, chacun peut transformer son cadre de vie en choisissant de déménager plus au vert, plus proche du centre ville, de l’océan, d’un meilleur ensoleillement… Aujourd’hui près de 32% des salariés envisagent une mobilité professionnelle dans les deux ans. Les carrières évoluent, elles se transforment, et le besoin d’agilité immobilière est plus fort que jamais. Se rapprocher de son lieu de travail est une nécessité, surtout pour les 10% d’actifs dont la priorité est de changer de ville ou de région (15% pour les actifs franciliens).

L’immo-sobriété, une solution vers le mieux vivre

Inflation, crise énergétique, crise immobilière, crise environnementale, crise de retraites… l’ostentatoire n’est plus à la mode, et l’accumulation de pièces à vivre ou d’hectares de jardins ne fait plus sens aujourd’hui.

Pour les 720 000 français qui arrivent en retraite chaque année, la voie de la sobriété s’impose comme une évidence. Avec la baisse des revenus induite par la retraite, et après le départ de leurs enfants pour créer leur propre vie, leur maison familiale est devenue bien trop grande pour deux personnes. Ils envisagent plus facilement des projets de voyage ou de maison secondaire et cherchent à réduire le nombre de pièces, le montant de leurs charges ou de leurs impôts. Déménager représente aussi l’opportunité de choisir un cadre de vie plus accessible, plus confortable ou de se rapprocher des enfants et petits-enfants plus mobiles que jamais.

De plus, la vente de leur bien leur permet de soutenir leurs enfants dans leur premier achat immobilier dans un contexte de durcissement du marché et de réduction du pouvoir d’achat.

Un choix de raison donc, comme celui de choisir d’occuper simplement le juste espace nécessaire pour limiter au maximum son impact environnemental. Une solution notamment prônée par Jean-Marc Jancovici, président du Think Tank The Shift Project. Il souligne que 86% des logements occupés par des propriétaires sont en situation de sous-occupation, à savoir qu’ils possèdent plus de pièces nécessaires au logement de ses occupants. La sous-occupation très accentuée (au moins trois pièces de plus par rapport à la situation de référence) est aussi liée à la propriété : parmi les 23,3 % de ménages dans cette situation, plus de 9 sur 10 sont propriétaires.

L’échange immobilier, une réponse d’avenir

Proposer à deux propriétaires d’échanger la propriété de leur biens sans passer par l’achat/vente comporte de nombreux avantages. En réduisant jusqu’à 60% des frais de notaire, la mobilité immobilière devient plus accessible que jamais. Le prêt relais disparaît, les démarches sont simplifiées, et ce marché de l’immobilier alternatif permet de faire se rencontrer les français en recherche d’une surface plus grande, avec ceux qui au contraire envisagent une réduction plus confortable, économique, ou plus en phase avec leurs convictions écologiques.

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Comment l’échange immobilier peut augmenter le pouvoir d’achat des retraités

À la retraite, chaque euro compte. Avec des revenus souvent en baisse et des dépenses fixes qui pèsent, les propriétaires cherchent des solutions pour améliorer leur niveau de vie. L’échange immobilier définitif s’impose comme une alternative intelligente à la vente classique : moins de frais, plus de simplicité, et la possibilité de dégager du capital pour profiter pleinement de sa retraite.

Le défi financier des jeunes retraités

Le passage à la retraite s’accompagne d’une baisse moyenne de 25 à 30 % des revenus. Pour de nombreux propriétaires, cette réalité rend plus difficile l’entretien d’une grande maison ou le paiement de charges importantes. Pourtant, leur patrimoine immobilier représente une richesse considérable. L’échange immobilier leur permet de transformer ce patrimoine en levier pour améliorer leur quotidien.


L’échange immobilier définitif : une solution économique

Contrairement à une vente suivie d’un nouvel achat, l’échange immobilier définitif présente des avantages financiers immédiats :

  • Réduction des frais de notaire : les droits de mutation et frais s’appliquent uniquement sur la différence de valeur entre les biens échangés (soulte), et non sur le prix total.
  • Suppression des frais intermédiaires : pas de prêt relais, pas de frais d’agence si l’échange se fait entre particuliers.
  • Optimisation fiscale : dans certains cas, l’échange peut permettre d’anticiper une meilleure gestion patrimoniale, notamment en vue d’une succession.

Libérer du capital pour mieux vivre

Échanger une maison familiale trop grande contre un appartement de valeur inférieure permet de dégager une soulte, c’est-à-dire une somme d’argent versée par l’autre propriétaire. Cet apport peut ensuite être utilisé pour :

  • Compléter sa pension de retraite,
  • Financer des voyages ou des loisirs,
  • Anticiper des dépenses de santé,
  • Aider ses enfants ou petits-enfants.

Ainsi, l’échange immobilier devient un moyen concret d’augmenter son pouvoir d’achat tout en simplifiant son cadre de vie.


Une sécurité juridique encadrée

L’échange immobilier n’a rien d’un arrangement informel : il est strictement encadré par le Code civil et doit être validé par un notaire. L’acte d’échange bénéficie des mêmes garanties qu’un acte de vente classique. Les diagnostics obligatoires (DPE, amiante, électricité, etc.) s’appliquent également, assurant transparence et protection aux deux parties.


Conclusion

Pour les retraités propriétaires, l’échange immobilier définitif est bien plus qu’une transaction : c’est une stratégie patrimoniale. Elle permet de réduire les frais, d’accéder à un logement plus adapté et, surtout, de dégager de nouvelles ressources financières pour vivre sa retraite avec sérénité et liberté.

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Échange de logements à Paris : quels arrondissements sont les plus pertinents en 2025 (et où l’échange est le plus « rentable ») ?

Échanger son appartement à Paris plutôt que vendre/acheter séparément peut réduire fortement la facture de frais d’acte et accélérer le projet. En 2025, la donne a changé : le marché se rééquilibre, la qualité énergétique pèse plus lourd, et certains arrondissements deviennent de véritables « hubs d’échange ». Béa Immo vous livre un classement argumenté des zones les plus pertinentes… et pourquoi.

Notre définition de la « rentabilité » d’un échange à Paris

À l’échelle d’un propriétaire, un échange est « rentable » s’il maximise (1) l’économie nette de frais d’acte par rapport à deux transactions classiques, (2) la probabilité de trouver une contrepartie compatible (valeur/typologie/localisation), et (3) la conformité et la valeur d’usage à long terme (DPE, charges, mobilité). En pratique, l’échange notarié permet de réduire sensiblement la taxation par rapport à deux achats/ventes séparés, car on ne dresse qu’un seul acte d’échange, avec un calcul spécifique sur le bien le moins cher, le plus cher et la soulte. Les économies peuvent atteindre de l’ordre de 50–60 % selon les cas, ce qui améliore mécaniquement la « rentabilité » globale du projet.

La méthode Béa : un indice de pertinence d’échange (IPE)

Nous avons construit un IPE (0 à 100) croisant quatre familles d’indicateurs propres au marché parisien 2025 :

  • Écart de valeurs intra-arrondissement et inter-arrondissements (facilite la compensation en soulte).
  • Profondeur du stock et diversité typologique (studios, 2-3 pièces, familles) qui augmente la probabilité d’appariement.
  • Contraintes réglementaires et énergétiques : poids du DPE et exposition aux interdictions de location pour les logements les plus énergivores, effectives depuis 2025.
  • Dynamique de marché 2025 (liquidité/prix en reprise timide à Paris), pour des délais d’exécution raisonnables.

Remarque : l’IPE est un outil d’aide à la décision, pas une cote officielle. Il doit être combiné à une estimation notariale et à un audit DPE du bien.


Le classement 2025 des arrondissements les plus pertinents pour l’échange

CatégorieArrondissementsProfil & pourquoi c’est pertinent en 2025IPE (est.)
Cœurs d’échange11e, 12e, 14e, 15eGros bassins d’appartements de 2–4 pièces, budgets « charnière » permettant des soultes maîtrisées, bonne mobilité inter-arrondissements. Marché assez profond pour des appariements rapides.80–86
Arbitrage valeur/typologie10e, 13e, 18eMix de surfaces et budgets hétérogènes favorisant les échanges « horizontaux » (surface vs. localisation) ou « verticaux » (gain/perte de m² compensés par soulte).74–79
Accès & volume19e, 20eTickets d’entrée plus accessibles, stock important en petites/moyennes surfaces : idéal pour échanger un 2 pièces contre un 3 pièces en périphérie proche (ou inversement) avec soulte raisonnable.70–75
Premium ciblé3e/4e (Marais), 9e, 17e, 16eValeurs élevées mais appariements plus « sur-mesure ». Pertinent si vous visez un échange croisé (ex. 16e ⇄ 9e) avec soulte calibrée.65–72
Ultra-premium de destination6e, 7e, 8eMarché de niche : l’échange peut neutraliser une partie de la fiscalité grâce à la mécanique de l’acte unique, mais la rareté des couples « compatibles » allonge la recherche.58–66

Lecture rapide : si vous possédez dans les 11e–15e, vous êtes au cœur de la « zone de confort » de l’échange (équilibre valeur/volume). Si vous cherchez à « monter » d’un cran en localisation sans exploser la soulte, regardez des couloirs 10e–13e–18e.


Où l’échange est-il le plus « rentable » ?

La « rentabilité » nette dépend de l’écart de valeur entre les biens et du calcul de l’acte d’échange (part prélevée sur le moins cher, le plus cher et la soulte). Paris étant un département à droits élevés en régime classique, la transformation de deux ventes/achats en un seul acte d’échange produit l’essentiel du gain. Concrètement, plus vos valeurs sont proches (soulte contenue), plus l’économie de frais pèse dans la balance—et plus l’échange devient « rentable ». Exemple de principe et formules explicatives disponibles sur le site Béa Immo.

Situations gagnantes fréquentes en 2025 à Paris :

  • Échange « surface ↔ localisation » : céder quelques m² (15e/14e) contre une adresse plus centrale (11e/10e) avec soulte limitée.
  • Échange « confort thermique » : quitter un bien à DPE faible pour un bien mieux noté, afin d’éviter les contraintes de location (interdictions 2025 sur les classes les plus basses).
  • Échange « famille » : 2 pièces bien placé (12e/11e) ⇄ 3 pièces un peu plus excentré (13e/19e/20e), soulte calibrée.

Cas d’usage : combien peut-on économiser sur les frais ?

Dans un schéma type 400 000 € ⇄ 300 000 € avec soulte de 100 000 €, l’acte d’échange applique une fiscalité spécifique sur le bien le plus cher, le moins cher et la soulte (à répartir ensuite entre co-contractants). Dans cet ordre de grandeur, l’économie par rapport à deux achats/ventes classiques flirte fréquemment avec ~50–55 % des frais cumulés, ce qui peut représenter plusieurs dizaines de milliers d’euros à Paris.


Conseils par profil d’arrondissement (pratique)

  • 11e–12e–14e–15e (Cœurs d’échange) : préparez 2 scénarios de soulte (+/- 30 k€) pour élargir la recherche. Mettez en avant ascenseur, plan en étoile et charges contenues : ce sont des déclencheurs d’appariement.
  • 10e–13e–18e (Arbitrage) : justifiez la valeur d’usage (transports, écoles, commerces de destination) pour compenser un léger écart de standing.
  • 19e–20e (Accès/volume) : soignez DPE et charges : un bon score peut vous faire « remonter » d’un cran en localisation à soulte constante. Référencez cave/balcon/espaces verts.
  • 16e–6e–7e–8e (Premium) : structurez un échange triangulaire (A⇄B⇄C) dès le départ : rare mais puissant pour équilibrer valeurs et attentes.

Check-list de conformité et de fluidité

  • Avant-contrat : mandat clair d’échange, valeur des biens sécurisée par avis de valeur et/ou notaire.
  • Diagnostics : DPE, amiante, électricité, ERP… à jour (les classes très énergivores ne sont plus louables depuis 2025).
  • Financement : si soulte, vérifier prêt (classique, relais, PTZ pour le neuf le cas échéant). Le contexte 2025 de détente des taux facilite les montages.
  • Acte : 1 seul acte notarié d’échange avec calcul spécifique des droits ; répartition des frais entre parties à prévoir contractuellement.

FAQ express

Un échange est-il plus rapide qu’une vente + un achat ?
Souvent oui, car l’appariement synchronise cession et acquisition en un acte, limitant les délais et les incertitudes de revente/reachat.

Qui paie les frais ?
Ils sont réduits par rapport à deux transactions et répartis entre les parties ; la clé de répartition est négociée dans le compromis d’échange.

Puis-je échanger si mon bien a un crédit en cours ?
Oui, sous réserve d’accord bancaire pour la soulte (rachat ou nouveau prêt).

Et si les valeurs ne sont pas identiques ?
La soulte compense l’écart. Plus elle est contenue, plus la solution est « rentable » dans l’esprit du dispositif.

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Acheter un appartement à Paris en 2025 : les quartiers à surveiller et l’opportunité de l’échange immobilier

Acheter à Paris en 2025, c’est un peu comme courir un marathon… sauf que la ligne d’arrivée bouge tout le temps. Les prix restent élevés, la concurrence est rude, et le marché ne laisse pas de place à l’improvisation. Pourtant, une méthode encore méconnue – l’échange immobilier définitif – peut faire gagner du temps, réduire les frais et sécuriser l’achat. Voici le guide complet des quartiers à suivre et de la stratégie à envisager.

Paris en 2025 : un marché unique et segmenté

Le marché parisien reste atypique : dense, segmenté, et résolument attaché à son prestige. En août 2025, le prix moyen au m² tourne autour de 10 000 €, mais la réalité varie énormément :

  • Quartiers abordables : autour de 7 500 € à Belleville, dans certaines zones du 19e et du 20e.
  • Quartiers premium : plus de 15 000 € dans le 6e, le 7e et une partie du 8e.

Même avec un léger ralentissement du marché depuis 2023, la capitale conserve une demande soutenue. Cependant, les délais de vente se sont allongés, et les acheteurs sont plus attentifs aux prix et à la qualité des biens.


Les quartiers à surveiller en 2025

Belleville (19e et 20e)

Encore relativement accessible pour Paris, Belleville conserve son esprit bohème et sa mixité culturelle. La présence de lofts, d’ateliers réhabilités et de petites copropriétés attire autant les jeunes actifs que les investisseurs. C’est l’un des rares secteurs où un premier achat reste envisageable avec un budget “raisonnable” pour la capitale.

Batignolles (17e)

Le quartier des Batignolles est devenu une valeur sûre. Son atmosphère de village, ses commerces indépendants et ses espaces verts séduisent les familles. Les prix sont plus élevés que dans l’Est parisien, mais la stabilité du marché en fait un investissement patrimonial solide.

Picpus et Nation (12e)

Des quartiers calmes, bien desservis, avec une offre variée en appartements familiaux. Les prix y sont plus doux que dans les arrondissements centraux, tout en restant dans Paris. Un choix judicieux pour ceux qui recherchent de l’espace sans sacrifier la proximité aux transports.

Neuilly-sur-Seine (limitrophe)

Juste de l’autre côté du périphérique, Neuilly allie prestige, espaces verts et standing. Les prix y sont élevés, mais la qualité de vie et la proximité de Paris intra-muros attirent toujours les acheteurs à fort pouvoir d’achat.


Pourquoi l’échange immobilier est un atout à Paris

Sur un marché comme Paris, acheter signifie souvent vendre un autre bien – en province, en banlieue ou dans un autre arrondissement – pour financer l’opération. Or, ce processus classique présente plusieurs inconvénients :

  • Deux actes notariés : donc deux séries de frais complets (7 à 8 % chacun dans l’ancien).
  • Délais longs : il faut souvent vendre avant de pouvoir acheter, ce qui peut vous faire perdre un bien coup de cœur.
  • Prêt relais risqué : en cas de décalage, vous pouvez vous retrouver avec deux crédits à gérer.
  • Stress logistique : deux déménagements, deux signatures, deux séries de négociations.

L’avantage concret de l’échange immobilier définitif

L’échange immobilier définitif contourne ces obstacles :

  • Un seul acte notarié pour les deux biens.
  • Frais réduits : calculés sur la valeur du bien le plus cher, du moins cher et de la soulte (1 % + 5 % + 6,3 %), au lieu de 7-8 % sur chaque bien.
  • Jusqu’à 60 % d’économies par rapport à une vente + achat classique.
  • Synchronisation parfaite : la vente et l’achat sont simultanés.

Exemple :
Un 2 pièces aux Batignolles estimé à 600 000 € échangé contre un 3 pièces à Nation à 750 000 € :

  • Vente/achat classique : environ 101 000 € de frais cumulés.
  • Échange immobilier : environ 45 000 € de frais (répartis entre les deux parties).
    Économie : 56 000 € et suppression du risque de prêt relais.

Les quartiers où l’échange immobilier peut être stratégique

  • Batignolles ↔ Nation : famille cherchant plus grand contre couple cherchant à se rapprocher du centre.
  • Belleville ↔ Neuilly : acheteur troquant un bien de standing contre un logement plus spacieux dans un quartier vivant.
  • Quartiers périphériques ↔ hypercentre : échanges fréquents pour raisons professionnelles ou familiales.

En combinant un marché ciblé et un outil comme Béa Immo, vous pouvez repérer des propriétaires ayant un profil complémentaire au vôtre et réduire drastiquement les délais.


Budget et financement à Paris

  • Frais de notaire : 7-8 % dans l’ancien, 2-3 % dans le neuf, et bien moins en échange.
  • Taux de crédit : autour de 3 % en août 2025, avec un apport toujours apprécié des banques.
  • Charges de copropriété : variables, souvent élevées dans l’ancien avec ascenseur ou gardien.

Conclusion : choisir le bon quartier… et la bonne méthode

Acheter à Paris en 2025, c’est un équilibre entre l’emplacement, le timing et la stratégie financière. Identifier les quartiers porteurs est essentiel, mais repenser la méthode d’acquisition peut transformer un projet difficile en opération fluide et rentable.
L’échange immobilier, encore peu connu, offre une alternative concrète pour réduire les coûts et gagner du temps dans l’un des marchés les plus compétitifs au monde.

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